top of page

Pologne : terre d'histoire

 

 

C’est un voyage différent que je vous propose. Traverser un pays de l’ancien bloc de l’est et s’arrêter au fil des rencontres et fil de l’histoire.

 

DUREE : 49 minutes + échange

 

 

 

LE SUJET

 

Si l’histoire a marqué un pays, c’est bien la Pologne. Impossible d’ignorer tous les évènements qui ont jalonné la deuxième moitié du 20 ème siècle. C’est aussi une nation très attachante, blessée par les décennies passées, en manque de confiance et aussi tournant le regard vers ce monde qui s’ouvre.

L’anglais devient ma langue de communication, mais j’ai parfois la chance de croiser le chemin d’un polonais (ce sera le cas d’Eryk) qui échange avec moi dans un français parfait. Il nous parle de ses compatriotes, de l’état d’esprit des Polonais et des conditions de vie aujourd’hui, à l’heure de la mondialisation.

 

Le reportage débute là où l’histoire nous oblige à nous arrêter… Auschwitz.

Situé dans le sud de la Pologne, je souhaitais vous faire découvrir ce lieu extrêmement particulier que le simple nom suffit à évoquer. On y évolue avec beaucoup d’émotion et d’humilité. Sans entrer dans le drame décrit par tant de reportages qui ont pu exister et qui se doivent de l’être au nom du devoir de mémoire, y passer une journée n’est pas chose inutile, loin s’en faut.

 

Cracovie, à soixante dix kilomètres plus à l’est, est la capitale de cœur du peuple polonais. Superbe cité historique qui a pu survivre aux bombardements puisque les Allemands, durant l’occupation d’une partie du pays par le troisième Reich, ont préféré s’y installer plutôt que de tout détruire. 800 000 habitants, mais un air de petite ville de province, rajeunie par d’innombrables étudiants. Nous rencontrerons Izabela, jeune étudiante elle aussi, qui aide ses parents durant les mois d’été dans la pâtisserie familiale.

 

Sur le chemin de Varsovie, quelques centaines de kilomètres plus au nord, je choisi de m’arrêter dans une petite ville de banlieue, juste une heure avant d’affronter la capitale polonaise.

Mon choix, un peu issu du hasard je l’avoue, va s’avérer d’excellente augure puisque nous rencontrons Eryk. Il tient un atelier de vélos et surtout il s’exprime dans un français parfait.

Tout le monde n’a pas les moyens de s’offrir une voiture en Pologne et les deux roues y sont presque aussi répandus qu’aux Pays Bas.

Eryk a un certain esprit critique envers ses compatriotes. Il nous explique l’état d’esprit des Polonais, leur façon d’être et aussi répond aux multiples questions que je lui pose avec une belle honnêteté.

 

Varsovie, le plus grand centre économique de toute l’Europe centrale. Une ville détruite à 90 % par les Allemands, une ville martyre qui fait peau neuve sans renier son passé, une capitale déroutante mais une étape essentielle de mon voyage.

 

A quatre cents kilomètres plus au nord, tout près de la mer Baltique, notre dernière séquence nous emmène à Gdansk.

Plus de dix siècles d’histoire, mais une période encore contemporaine des années 70 à nos jours extrêmement riche d’évènements majeurs.

Les chantiers navals, Solidarnosc (premier syndicat indépendant de l’aire communiste) Lech Valeza et l’accès à la démocratie après la chute du mur de Berlin.

Je croise Jacek, ma plus belle rencontre depuis des années de voyages. Agé de trente deux ans il nous raconte son pays : son enfance sous la fin d’une dictature qu’il a vu tomber, ses souvenirs et tout ce qui fait que son pays est sa nation de cœur.

 

  • Facebook Clean
  • Instagram Clean
  • Twitter Clean
  • Flickr Clean
bottom of page