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Pas une seule minute sans voir ou entendre quelque chose de nouveau. A peine hors de l’aéroport, on est immédiatement saisi par la chaleur et l’humidité, les premiers billets qu’on manipule, les premiers marchandages aussi, les odeurs de cuisine de rue, les sourires et très vite l’immense gentillesse du peuple sri lankais.

la végétation, la langue qu’on entend tout autour de soi.

On est à 8500 kilomètres de la France, j’avance ma montre de cinq heures. On est au mois de février mais il fait 33 degrés et la nuit tombe ici toute l’année avant 18 heures.

On digère très vite toutes ces information et l’impression au bout d’une seule journée est d’y être depuis plus d’une semaine.

D’abords ce sont les couleurs et les sons ambiants. Nous sommes à peine à quelques encablures de l’Inde, ce pays continent qui fascine tous les voyageurs.

Ici aussi, au Sri Lanka c’est la valse des porteurs de rue, des touk touk ( petits taxis locaux à trois roues), des marchés aux mille couleurs, des saris élégants et de la musique qui s’échappent des échoppes.

Trois religion cohabitent en bonne intelligence, dans la capitale Colombo. D’abord bien sûr le bouddhisme, puis l’hindouisme et enfin l’islam et donc autant de temples et de mosquées qui jalonnent la ville.

Chaque jour passé ici est une nouvelle expérience. On a l’impression, en descendant dans la rue chaque matin d’ouvrir un livre d’aventures.

C’est exactement ce que je suis venu chercher.

C’est le dépaysement à l’état pur et les raison de faire tourner la caméra ne manquent pas.

Dans le quartier où j’ai pris ma chambre d’hôtel, pas un touriste. C’est la partie la plus populaire de Colombo… Je suis servi.

Alors, si vous êtes près vous aussi à me suivre, allons y...