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Africa Queen

Le paradis perdu

 

Itinéraire d’une enfance africaine. Premiers souvenirs du Bénin et du Cameroun

et aussi premiers sujets tournés au Sénégal douze ans plus tard.

Déclaration d’amour au continent Noir.

 

DUREE : 44 minutes + échange

 

COORDONNEES DE L’AUTEUR :

Jean-Michel  GUSMANO  106, Cours Berriat  38 000 GRENOBLE

Tél. : 04.76.70.35.24  E-mail : gusmano.jm@free.fr

 

LE SUJET

 

Nous sommes à la fin de l’année 1968. Alors enfant je m’apprête à suivre ma famille en partance pour Porto Novo au Dahomey (ancien nom de Bénin). Les souvenirs sont flous mais tout de même assez forts pour vous en parler aujourd’hui.

A l’origine d’une passion démesurée pour les voyages, je suis à l’aube d’une très belle aventure faite de connaissance, de dépaysement et de découverte.

 

Trois années passées au Bénin où je vais à l’école suivies de deux autres saisons dans le nord du Cameroun.

 

Bénin : univers tropical et paradis de jeu. Culture impressionnante pour un enfant mais riche d’enseignements. Paysages inconnus si différents de la France.

 

Cameroun : la végétation sahélienne y domine. Décor sec et minéral. Plus de ville, juste la brousse et l’école par correspondance. Les animaux sauvages, l’Afrique à l’état brut.

 

Difficile aujourd’hui de mettre des mots sur ces premières années loin de mon pays natal, mais le besoin d’en parler est si fort qu’il m’a semblé inévitable d’en faire un livre d’images, un film à partager avec vous.

 

A partir de plans filmés par mon père durant ces années-là, de photos et de tout ce que j’ai pu rassembler comme souvenirs, j’ai monté ce document.

Travail très particulier où les films muets 8 millimètres sont numérisés et surtout enrichis de bruitages sonores. Musiques retrouvées pour certaines au fond d’un tiroir et après 190 heures de préparation et de réglages le montage se termine.

 

Les années 1968 à 1972 reprennent vie.

 

Douze ans plus tard alors militaire sous les drapeaux dans une caserne allemande, j’obtiens une permission à l’étranger pour me rendre une nouvelle fois en Afrique.

Alors muni d’une caméra je vais filmer pour la première fois la suite de mes aventures dans un autre pays en atterrissant à Dakar.

 

Les rues sablonneuses de la capitale sénégalaise me semblent si familières alors que j’y marche pour la première fois. Je me trouve en Afrique avec une caméra : c’est tout ce qui compte.

Vingt cinq kilomètres à pied par jour pour rencontrer, s’imprégner, se nourrir, connaître et digérer tant de choses nouvelles.

Le contact en tant que blanc n’est pas toujours aisé quand on prend en compte la présence d’une caméra, mais j’ai ma bonne étoile. Je cherche à faire le portrait de quelqu’un et je croise alors la route de Macumba.

 

Tranches de vies, petits moments à vous faire partager, petites histoires à vous raconter…

 

 

 

 

 

 

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